Le porte-parole du gouvernement Wilfried Léandre Houngbédji a exprimé sa tristesse suite au décès de Jérôme Carlos, journaliste chroniqueur béninois.
Le lundi 15 janvier 2024 restera gravé dans les annales du journalisme béninois en raison du décès d’une icône inestimable. Jérôme Carlos, le renommé journaliste, chroniqueur et directeur général de la radio Capp Fm de Cotonou, s’est éteint, laissant derrière lui un héritage indélébile.
La nouvelle de son décès a suscité une vague d’émotions. Même le porte-parole du gouvernement, Wilfried Léandre Houngbédji, a salué sa mémoire à travers un hommage sur sa page Facebook.
« Une icône s’en est allée. Un astre s’est éteint. Jérôme CARLOS aura inspiré tant de générations de journalistes. Nombreux sommes-nous à lui vouer un respect et une admiration mérités. C’est avec respect et reconnaissance que je salue sa mémoire. », a-t-il exprimé.
Une carrière impressionnante dans le domaine du journalisme
Avec une carrière impressionnante dans le domaine du journalisme, Jérôme Carlos a touché de nombreux aspects de la vie culturelle et politique du Bénin. En plus de ses contributions en tant que directeur des Musées, Bibliothèques et Archives nationales de Cotonou, il a également exercé en tant qu’expert consultant auprès de l’Institut culturel africain de Dakar.
Sa plume a laissé une empreinte indélébile dans des publications renommées telles que Ivoire Dimanche, La Presse, et La Lettre d’Afrique. De plus, en tant que directeur général du Centre africain de la pensée positive (CAPP) et directeur gérant de la radio privée commerciale CAPP FM, Jérôme Carlos a joué un rôle crucial dans la propagation d’idées et d’informations cruciales au sein de la société béninoise.
Le monde des lettres a également bénéficié de sa contribution, à travers sa participation à des ouvrages collectifs et en tant qu’auteur du texte de la Dictée d’Afrique 2006.
Jusqu’à quand nous allons finir avec ses histoires de mauvais souvenir ?