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AccueilNon classifié(e)"Je prie Dieu pour qu'en 2023, la Céna n'attribue pas les 10% à  la tête du client", Alain Adihou

« Je prie Dieu pour qu’en 2023, la Céna n’attribue pas les 10% à  la tête du client », Alain Adihou

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Dans le cadre des élections législatives de 2023, les partis politiques de l’opposition éprouvent des craintes sur l’impartialité de la CENA. Invité dans l’émission « 90mn pour convaincre », l’ancien ministre de Mathieu Kérékou, Alain Adihou et actuel membre du parti FCBE prie pour que l’organe en charge des élections n’attribue pas les 10% à la tête du client.

Les partis politiques sont désormais informés sur la date des prochaines élections législatives. Depuis la décision de la cour constitutionnelle qui fixe au 8 Février 2023, la date du scrutin, c’est le branle-bas au niveau des formations politiques. Si l’opposition s’active aussi pour la compétition, ce n’est pas sans une dose de crainte sur la CENA.

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Reçu sur l’Emission «Â 90 mn pour convaincre » de Radio Bénin, l’ancien ministre chargé des relations avec les institutions sous Mathieu Kérékou, a exprimé ses attentes du Conseil électoral, l’organe qui a remplacé la CENA. Rappelant ce qui a été reproché à cette structure en 2019, Alain Adihou croise le droit pour que le conseil électoral évite les insuffisances qui ont marqué sa mission en 2019. L’acteur politique évoque pour rafraichir la mémoire, l’interprétation jugée partisane des règles du jeu.

« Je prie Dieu pour qu’en 2023, la Céna n’attribue pas les 10% à la tête du client« , a lancé le ministre Alain Adihou

 Rappelant ce qui a conduit à l’instauration de la commission électorale nationale autonome, aujourd’hui conseil électoral, Alain Adihou affirme que c’est eux qui ont initié et mis en place la loi concernant la Céna. « C’était justement parce que le gouvernement en ce moment-là avait tout le processus électoral en mains et toute la procédure était contrôlée par l’administration du ministère de l’intérieur. Malheureusement, nous tombons encore dans ce travers avec le ministère de l’intérieur pas aux commandes, mais une structure quasi entièrement entre les mains de l’exécutif« , a déploré l’ancien ministre.

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Pour lui, ce qui urge aujourd’hui, ce n’est pas des propos pour rassurer mais procéder à la relecture des textes qui excluent afin de calmer le jeu. Il faut rappeler que lors des législatives de 2019, plusieurs partis politiques ont été exclus pour diverses insuffisances.

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